lundi 27 octobre 2014

La fin du Quizz de Fabrice.














Suaves visiteurs, pour ne rien vous cacher, nous avons eu un peu peur en voyant les premières propositions tomber, tant elles étaient éloignées de celle que nous recherchions, à savoir Kate Capshaw. 

Heureusement, surgie de nulle part, Daisy bondit et triompha, donnant au passage toutes les informations que par conséquent nous allons nous contenter de répéter. Daisy, voyez votre nom en noir sur gris cette semaine sur Soyons-Suave et malgré cela, voyez comme il brille. Bravo ! 



Mais quelle ouverture, quel numéro et surtout quelle robe pour débuter ce "Indiana Jones et le temple maudit" de 1984, alias, pour Kate Capshaw, "le film qui changea ma vie" puisque à l'issue du tournage, elle tomba dans les bras du réalisateur et l'épousa quelques années plus tard.

Elle aurait pu pourtant sombrer pour Harrison Ford, terriblement yummy dans cet opus, elle préféra cependant Steven Spielberg. Harrison a aujourd'hui 72 ans et une boucle d'oreille, Steven en a 67 et presque toujours les mêmes lunettes. Si Kate préférait la stabilité, alors reconnaissons qu'elle a fait le bon choix.


































Si nous ne savons pas grand chose de la formation initiale de Kate Capshaw (apparemment elle commença dans l'éducation avant de se lancer dans la comédie), nous n'ignorons rien du cauchemar que fut le tournage de cette séquence, qui intervint très tard dans la production du film, obligea l'actrice à apprendre une sorte de mandarin de cuisine et à danser dans une robe qu'entre-temps, un éléphant avait un peu mangé.

La légende raconte que, recousue tant bien que mal mais trop serrée, la robe est responsable de ce mouvement proche de la chute qu'effectue Kate avant de disparaître dans la brume et le numéro de claquettes. En 1984, Steven Spielberg était déjà obsessionnel et bénéficiait de très confortables budgets. L'histoire est séduisante mais franchement... Une petite prise supplémentaire, non ? Non, il est 19h, c'est fini.

























Comme le précisait Daisy, "Anything goes" est bien entendu, un des innombrables tubes écrits par Cole Porter, en l'occurrence pour la comédie musicale du même nom en 1934 et qui livra également au monde "You're the top" et "I get a kick out of you".

Adapté deux fois au cinéma, ce spectacle, à Broadway en tout cas, porta chance à toutes ses interprètes féminines puisqu'il permit à Patti Lupone en 1987 et à Sutton Foster en 2011 de remporter le Tony de la meilleure comédienne. La seule à qui "Anything goes" n'apporta rien fut la créatrice de la chanson, Ethel Merman, mais qui sut par la suite se rattraper et demeurer, ne nous demandez pas pourquoi, c'est un mystère, la chanteuse fétiche de Cole Porter.



Très mystérieux, vraiment ! Mais peut-être simplement parce qu'on l'entend bien, non ? 

1 commentaire:

Jérôme (moins anonyme) a dit…

Peut-être qu'Ethel lui rappelait son passage dans la Légion?